on est, on est, on est en finale

 

Il y a un mois, je n'aurais pas parié un centimes d'euros sur l'équipe de France de Rugby.

 

Et voila, nous sommes en finale du chanpionnat du Monde

 

 

Les gallois leur ont donné du fils a retordre, mais les français on gagné d'un petit point. mais cela a suffit.

 

 

Mais la finale ce ne sera pas de la tarte  !!

allez les bleus !!!!!

Notre petit bonhomme et sa maman sont rentrés vendredi et Samedi mamy Moune a pu le serrer sur son coeur.

 

Que du bonheur.

 

 

 

Déja Bébé sourit à sa maman.

 

 

Je suis couleur abricot, normal j'ai eu la jaunisse.

a bientôt.

Parlons lecture, vous le savez je ne lis pas les romans a la mode, pas les prix littéraires, pas les livre de Pierre, Paul, Jacques dont on parle dans les salons littéraires.

 

Trés jeune, j'ai eu ma période Fleuve noir, je les piquais à mon père, puis quelques Delly (l'ancêtre des arlequinades) Alexandre Dumas,  puis Guy des Cars etc...... puis une période Arelquin...... ne riez pas !!!

 vers 30 ans, le summum pour moi " Les rois maudits de Druon ", j'ai lu tout Benzoni, quelques romans de campagne, mais cela me gave grave.

Maintenant il me faut du suspense, du frisson, de l'hémoglobine, mais pas trop d'horreur je ne lis plus Chattam.

Tout cela pour vous dire que je me suis inscrite sur la nouvelle Communauté créé par JLuc, "Je lis, un peu, beaucoup" .

 

Mon livre du Jour, Lumière Fatale de Laurent Botti.

 

 

Laurent Botti, 36 ans, journaliste et écrivain, a déja publié 2 romans, Pleine Brume et La nuit du Verseau. J'ai lu ces deux livres, je vous les recommande.

 

Fatale lumière est son troisième roman.

 

Une femme est assas­si­née en direct sur le web et un ins­pec­teur en plein sevrage alcoo­li­que est chargé de l’enquête... c’est le quo­ti­dien de toutes les métro­po­les du monde.

Mais c’est à Navity que ça se passe. Et Navity n’est pas n’importe quelle ville. C’est la nou­velle Hollywood : une cité brillante, fas­ci­nante et malé­fi­que. Le nouvel empire de la créa­tion des rêves depuis que le Big One a détruit Los Angeles. Le trem­ble­ment de terre a permis à une nou­velle géné­ra­tion d’accé­der au fir­ma­ment, mais l’ancienne est tou­jours là, tapie dans l’ombre et prête à pren­dre sa revan­che.

Ce n’est qu’une ques­tion de temps…

Ce temps qui manque à l’ins­pec­teur Wode pour dénouer les fils d’un écheveau dia­bo­li­que.

Les démons du passé n’avaient pas dis­paru. Ils atten­daient juste leur heure.

 

J'ai beaucoup aimé ce livre de même que les deux premiers.

 

Son dernier roman qui sort à la rentrée "Un ticket pour l'enfer". je le demanderais a la bibliothèque.

 

Lire, la meilleure façon de changer de monde en un clin d'oeil.

A l'intention des futurs parents.

 

 

 

On ne se sert plus d'épingles de nourrice, maintenant les bébés ont des couches jetables, mais ces épingles sont toujours pour moi synonyme de poupons.

Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous deux adoraient la belle
Prisonnière des soldats
Lequel montait à l'échelle
Et lequel guettait en bas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Qu'importe comment s'appelle
Cette clarté sur leur pas
Que l'un fut de la chapelle
Et l'autre s'y dérobât
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous les deux étaient fidèles
Des lèvres du coeur des bras
Et tous les deux disaient qu'elle
Vive et qui vivra verra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au coeur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Du haut de la citadelle
La sentinelle tira
Par deux fois et l'un chancelle
L'autre tombe qui mourra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Ils sont en prison Lequel
A le plus triste grabat
Lequel plus que l'autre gèle
Lequel préfère les rats
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Un rebelle est un rebelle
Deux sanglots font un seul glas
Et quand vient l'aube cruelle
Passent de vie à trépas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Répétant le nom de celle
Qu'aucun des deux ne trompa
Et leur sang rouge ruisselle
Même couleur même éclat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Il coule il coule il se mêle
À la terre qu'il aima
Pour qu'à la saison nouvelle
Mûrisse un raisin muscat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
L'un court et l'autre a des ailes
De Bretagne ou du Jura
Et framboise ou mirabelle
Le grillon rechantera
Dites flûte ou violoncelle
Le double amour qui brûla
L'alouette et l'hirondelle
La rose et le réséda

 

 

Louis Aragon

 

 

 

Ce poème est celui que je récitais lorsque je m'adonnais au théatre

Le croirez vous, j'ai fait une découverte..... hier sur France2 en regardant un reportage sur la New Orléans dévasté par Katrina, j'ai redécouvert le jazz, je l'avais perdu de vue. Ou plutôt d'oreille.

 

je me suis mise à tambouriner mon bureau comme au plus beau jour, et je me suis dit, c'est cela qui me manque, de la musique !!!!

 

Dans une autre vie lorsque j'étais seule à la maison la chaine hifi chauffait en permanence, maintenant la maison est silencieuse, pour cause, laisser Robert se reposer, la musique n'est pas sa tasse de thé quoi qu'il ai deux amour, Michelle Tor et Tina Turner. Elles ont a peu prés le même age mais pas le même genre.

 

 

 

j'adore moi aussi cette femme pour son talent et pour ce qu'elle est une femme malmenée par la vie mais qui s'en est sortie avec courage.

mais ici n'est pas mon propos.

 

Donc révélation, il me manquait ce plaisir de la musique quelle, qu'elle soit pourvu qu'elle soit bonne.

 

j'ai aimé les yéyés comme tout le monde

 

puis les trois B  Brassens, Brel, Bécaud

Ray Charles fut mon premier grand amour

Charles à la folie, Serge avec déraison,

Véronique m'a suivie tout au long de ma vie.

J'ai pleuré lorsque Jean Ferrat nous a quitté.

 

Je suis allée voir Polnareff en courant lorsque il est revenu en France

J'ai adoré les grands orchestres de jazz blanc ou noir de l'aprés guerre, Satchmoo a bercé mon adolescence avec ses negro spiritals.

Et si j'ai appelé mon fils Franck, vous devinerez que c'est a cause de la voix du crooner de ces dames, Sinatra.

Ne lui dites pas !!!! il ne serai pas content, pas à Sinatra mais à Franck

 

 

 

My way, cet énorme succés est écrit pas un français.

 

Certain peuvent me dire "tu as des gouts de chi...e"  Mais ce sont les miens.

 

j'ai une discothèque de 33 tours énorme, j'ai même acheté une platine convertissant les vinyls en cd.

 

Mais comment écouter à plein tube ces musique sans déranger l'homme qui dort ou regarde son match de l'OL à la télé, et bien j'ai trouvé.

 

grace à Youtube et a mon casque !!!

 

Hier soir installée à coté de L'homme, le casque sur les oreilles, je me suis fait le super récital à plein tube. Robert n'entendant même pas un pixels de musique. Je me suis gavée.

Tout d'abord Aznavour, j'ai retrouvé des vidéo de ses débuts, extra, puis Bécaud, je me repassais mes préférés en boucle "je reviens te chercher" "et maintenant" des chansons d'amour bien entendu. Puis je ne sais pourquoi, j'ai bifurquer, Lara fabian "adagio" dans toutes les langues, caruso, je t'aime, puis des duos avec Maurane, "tu es mon autre" avec Laura Pausini "la solitudine" et au hasard des propositions Obispo "fan" "milénium"avec Pagny  "un jour une femme" puis pour terminer "l'envie d'aimer" avec Daniel Lévi et la troupe des 10 commandements.

 

 

 

 

 

 

 

 

Journée de la communauté " Musique à coeur ouvert " 

Le théme du jour choisi par ( Samdalia ) notre présidente

 

 

Merci Madame la vie

de Charles aznavour

 

 

 

 

Pour m'avoir accordé un jour
Le droit de vous faire la cour
Merci madame la vie
Et m'avoir permis si longtemps
D'être votre fidèle amant
Merci madame la vie
Je n'ai cessé de vous aimer
Mais vous, vous m'avez tant donné
Que je reste votre obligé
Quand même

 

 

Et mon problème
Tant que je suis encore vivant
C'est de vous redire très humblement
Merci madame la vie
Bien sûr il ne tiendrait qu'à vous
Pour que je reste à vos genoux
Mais oui madame la vie
Vous n'auriez qu'à dire un seul mot
Je reprendrais tout à zéro
Mais oui madame la vie
Car j'ai un moral étonnant
Et puis la force, je le sens
De vous aimer encore mille ans
Peut-être

 

 

 

Mais sans promettre
Enfin quoi qu'il puisse arriver
Et quoi que vous puissiez décider
A vous qui m'avez tant donné
Je redis
Merci madame la vie

 

 

 

 

 

 

La fifille à sa maman est venue me voir aujourd'hui.

 

 

Comme Robert était déprimé (*) il ne s'est levé que vers 16 heures,  Ce qui fait que nous avons passé une grande partie de la journée en tête à tête , comme deux copines.

 

Si je vous disais que cela fait trés longtemps que cela ne nous était pas  arrivé, au moins 18 ans !!!!

 

 

Parfois, la vie sépare les gens qui s'aiment, elle ne les sépare pas physiquement mais moralement. La communication se coupe, on se parle, mais on ne s'entend pas.

 

 

 

Nous voici toutes les deux en 1991, avec Chloé, Sophie avait 27 ans, moi 48. photo argentique scannée.

 

 

Il va falloir que je recherche des photos ou nous sommes ensemble, difficile car j'ai toujours l'APN à la main.

 

 

Sophie, en mai 2008.

 

On s'est raconté tous nos petit secrets, mais vous ne saurez rien !!!!

 

 

(*) La raison de la déprime de Robert, est l'annonce du décès de son cousin d'Aveyron, Roger, emporté par le crabe.

 

Nous seront donc absents quelques jours, nous partons demain matin  en Aveyron accompagner Roger vers sa dernière demeure.

 

Je vous parlerais de cette famille  à mon retour.

Défi de Cricket, relayé par Hélène, raconter son ou ses expérience de naissances.

 

 

Pour votre servante, la cigogne est venue 3 fois  mais la première fois elle m'a fait une drôle de surprise.

 

Je devais accoucher autour du 15 avril et le temps passait, et rien ne venait, j'avais l'impression que je n'accoucherais jamais, c'était en 1964, on avait plus tendance a laisser venir les choses normalement.

le 27 vers 2 heures du matin je sens que la sarabande commence , mais il y avait déja eu tant de fausse alerte j'ai attendu, mon homme est donc parti au travail sans que je ne lui dise rien, on verra bien.

 

Mais sur le coup des 11 heures les douleurs étaient bien présentes, je faisais comme on me l'avait indiqué la respiration adéquate, et attendais que l'homme rentre du travail.

Il voulait m'emmener directement a la clinique. Calmos, j'avais le temps on dit que pour les primipares, ce peut être long....

je temps que je le fasse manger, les douleurs empiraient. Il prit le bélier par les cornes, attrapa les valises et me véhicula illico presto vers la clinique, sise Rue de la Charité à Lyon.

En ce temps là il existait des cliniques tenues exclusivement par des "Sages femmes".

 

Aprés visite de l'état du travail, on m'installa dans une chambre en me recommandant de bien faire ma respiration lorsque les contractions arrivaient.

l'homme fut renvoyer a ses occupations.

Ainsi passa l'aprés midi j'avais apporté un polar, j'étais déja fan depuis longtemps. je lisais entre deux contractions.

Dans la chambre d'à coté une dame hurlait sa douleur, et cela me faisait dresser les cheveux sur la tête !!!

Vers 19 h 30 on m'installait dans la salle de travail, l'homme était avec moi, il ne cessait de m'encourager à bien faire ma respiration, soufffffle, souffffle, souffffle.....

Cela finissait pas m'énerver, j'avais mal et le fait de souffler ne calmait pas mes douleurs.

Je ne voulais pas qu'il assiste, et lui n'en avait pas trés envie, donc tout était bien.

Le temps passait et je voyais les sages femmes qui écoutaient à gauche, qui écoutaient à droite..... qui se parlaient en conciliabule qui revenaient écouter mon ventre.... que disait mon ventre ? Que disait donc ce bébé qui mettait du temps à sortir ?

Poussez, poussez, madame, poussez, poussez !!!!

Finalement je sus ce que disait mon bébé.

" Ouvrez ouvrez, on est deux, on veut sortir"

A 23 h15 Franck est né, 3kg200, 60 cm la sage femme est sortie dire à l'homme, "c'est un garçon !!!! mais c'est pas fini, il y en a un autre......!!

à 23 h 30 Sophie venait au monde, 2 kg350 et 45 cm .

 

Mon mari m'a dit avoir l'impression que le ciel lui tombait sur la tête, nous attendions un bébé, il en arrivait 2, et le choix du roi, un garçon et une fille.

 

J'étais un peu dans les vaps et je n'ai pas réagit de suite.

le lendemain matin il a fallu emmener Sophie en couveuse à l'hopital des enfants à Lyon. Elle avait quelques difficultées respiratoires, elle est descendue jusqu'a 1 k 800. Je l'ai récupérée 2 semaines plus tard lorsqu'elle a suffisament grossi pour faire plus de 2 kg 500.

 

J'allaitais Franck et chaque jour mon époux portait 1 biberon entier de mon lait que je tirais à l'hopital pour Sophie.

 

J'avais beaucoup tricoté durant ma grossesse, ma layette était importante, il a fallu changer le landau que mon père nous avait offert, acheter un autre lit, des langes, des couches etc....

acheter une machine à laver le linge.

 

 

Et la corrida a commencé, j'avais juste 21 ans, maman était clouée au lit par la SEP, ma belle mère était décédée. Il a bien fallu se débrouiller.

 

3 ans plus tard, Patrick naissait, mais cela est une autre histoire, qu'il faudra bien que je vous raconte.

 

 

Photo prise pour mes 65 ans en avril 2008.

Vendredi et Samedi Louis et Camille sont venus passer un peu de temps avec nous, Maman est à Londres, Papa est à Clugny. Alors Papi et Mamina sont ravis d'avoir leurs petits à la maison.

 

 

C'est chouette on est allé voir les poules du voisin.

 

 

Mamina, ton jardin est un  peu déplumé

 

 

 

 

Louis se défoule devant le PC portable.

 

 

trés, trés assidu, ce doit être des maths ou de la géograplie ????

 

 

 

Camillou aide Mamina a jardiner.

 

 

On joue avec Athos.

 

 

 

 

on a bien joué dehors maintenant on fait des dessins, Camille est trés concentré.

 

 

On change de crayon ou plutot de stylo.

 

 

il y a du choix, un jaune peut etre

 

 

Je suis concentré je vais faire une grosse bête avec de grandes cornes.

 

 

 

Petites mains potelées pour poignée de stylo panaché.

 

Le samedi soir Mamina étaient sur les rotules.

 

 

 

Si samedi 20 mars était  consacré a la peinture le samedi 13 mars était musical.
Musical avec un grand M, car l'un de mes fils jouait avec son groupe "LIZ DE LUX" dans un café concert à Lyon, depuis le temps que je voulais aller le voir et l'entendre car la dernière fois qu'il jouait à Lyon il y avait des tonnes de neige.

Me voici donc partie avec Ma Sophie, elle est venue me chercher, Robert regardait son match de foot de l'OL.

Ce concert était gratuit c'était la sortie de leur premier vinyl.



Recto



verso

le vinyl est au prix de 6 euros.
Patrick est aux percussions.

voici quelques photos du concert
























Je ne suis pas trés douée pour les photos en intérieur

pour les entendre, allez sur leur site

LIZ DE LUX

SUR MYSPACE

Pour les voir sur Dailymotion

Bonne soirée

Pour la Communauté "Photographe du Dimanche" de Poupinette sur le thème "Peluche"

Voici les miennes.



On peut avoir 66 ans et avoir des peluches porte-bonheur.



Voici KOKO, notre koala voyageur, il était la mascotte de notre camping car, il en a fait des kilomètres...



Voici maintenant, RIRI mon hérisson, il est toujours dans ma chambre depuis de nombreuses années.



et voici MARGUERITE ma petite vache qui meuglait lorsqu'on lui appuyait sur le ventre.... elle est muette maintenant. Elle est toujours dans mon bureau.



Et voici MA GRENOUILLE, en réalité c'est comme cela que Maman m'appelait. d'une certaine façon, c'est moi. Elle est toujours dans ma voiture, je ne l'ai sortie que pour vous la montrer.

J'ai deux autres peluches vivantes, mais vous les connaissez bien.

Camille à 3 ans aujourd'hui, je n'ai pu aller lui faire des bisous. mais je pense à lui.



Cet été chez  grand mère Lénou, il commence à écrire.



Il sait déja quel métier il va faire.



Là il est incognito !!!!

(*) Vous vous direz, mais Moune qui a divorcé 2 fois, comment peut elle nous donner la leçon.
 Je n'ai pas été larguée, c'est moi qui suis partie, les 2 fois, j'ai tout laissé, la maison, la voiture, la caravane, la belle situation car je n'avais plus d'estime pour mon mari.  10 ans plus tard, je récidivais, femme battue, violée, trompée, je prenais la poudre d'escampette avec Pierre qui avait 5 ans. La haine au coeur mais pour d'autres raisons.
Aucun, ni aucune personne ne vaut que l'on perde sa vie pour lui ou pour elle.

En cherchant la photo de l'article précédent, je me suis remémorée nos vacances aux pays basque en 2003.
Nous cherchions la fraicheur et nous montions sur les hauteurs afin de piqueniquez au bord d'un torrent.

Robert n'était pas encore diagnostiqué Parkinson, et la vie était belle. C'était l'année de mes 60 ans et j'avais réussi a trouver mes 40 années de cotisations en cherchant dans tous les tiroirs de mon immagination. j'étais donc à la retraite.

Et Robert souriait à la nouvelle vie qui commençait pour nous.